hémorragies...asphyxie....LES PLAIES ET BRÛLURES

asphyxie

[right]Objectifs:
Reconnaître les signes d'une asphyxie.
Déterminer les causes de l'asphyxie.
Soustraire la victime de la cause de l'asphyxie.
Assurer correctement la ventilation artificielle.
I) Définition :
- Trouble grave d’un organisme qui manque d’oxygène, qui est en état de détresse respiratoire.
- Blocage, arrêt d’une activité d’une fonction essentielle
L’Asphyxie est l’arrêt de la respiration.
- L’Homme ne peut pas vivre plus de quelques minutes sans oxygène, c’est à dire qu’il faut savoir :
- Reconnaître une asphyxie.
- Faire les gestes d’urgence avec rapidité et compétence.
- Faire ou éviter tel geste dans tel cas particulier.
II) RECONNAÎTRE L’ASPHYXIE.
L’Asphyxie est avant tout un sujet qui ne respire plus,
Les mouvements respiratoires étant arrêtés, on ne voit plus la poitrine ni le ventre se soulever. Il est inanimé, sans connaissance, sans mouvement. Son visage est blanc, livide, ou au contraire violacé, noirâtre ; ses membres sont refroidis. Son pouls est souvent impossible à prendre, son pouls peut battre très faiblement Ou être arrête. Le Secouriste ne s’attardera pas à rechercher des petits signes, il mettra tout de suite en œuvre les gestes d’urgence chez un sujet dont la respiration est arrêtée. Les gestes d’urgence à faire à un asphyxié sont une question de s e c o n d e s.
Le secouriste doit, de toute urgence
* faire cesser la cause de l’asphyxie sans y succomber lui même.
* Essayer en quelques secondes de dégager les voies respiratoires de la victime.
* Commencer immédiatement la respiration artificielle.
Les témoins seront utiliser :
- pour donner l’alerte.
- et éventuellement aider à faire certains gestes complémentaires.


1° SOUSTRAIRE L’ASPHYXIE À LA CAUSE DE L’ASPHYXIE.
Il faut couper le courant électrique, sortir le noyer de l’eau, etc.…
Dégager les voies respiratoires du sujet.
. D’un geste desserrer Col, Cravate, Ceinture (3 c).
. Vérifier soigneusement la Cavite buccale
. Retirer corps étranger, sang, et autres…
. Puis basculer la tête en arrière ou en hyper extension.
On doit commencer la respiration artificielle sur place, immédiatement, et la continuer aussi longtemps qu’il le faudra.
La méthode de la respiration artificielle doit être simple et réalisable sans matériel.

A/ Méthode insufflation d’homme à homme. (Bouche à bouche) (Bouche à nez). BOUCHE A BOUCHE / Le sauveteur insuffle dans les voies respiratoires de l’asphyxie une partie de l’air que lui – même rejette à l’expiration. L’asphyxié est allongé sur le dos, le sauveteur se place à genoux, à cote de la tête de la victime , il place une main sous la partie inférieure du cou , qu’il soulève ; l’autre appuie sur le front , rejetant la tête en arrière , en (hyper extension ). Le menton vers le ciel, le pouce et l’index de cette main fermant les narines.
L’inspiration : le sauveteur insuffle l’air en plaquant la bouche largement ouverte autour de la bouche de l’asphyxié.

L’expiration : elle se fait de façon passive, le sauveteur relève sa tête et la tourne vers le corps de la victime, cela lui permet de reprendre son souffle et de vérifier que la poitrine se vide bien de l’air qu’il a insufflé à l’inspiration.

B/ METHODE DE BOUCHE A NEZ.
Les positions du sauveteur et de la victime sont identiques, la fréquente également, Le renversement de la tête en arrière est obtenu en plaçant une sur le front , l’autre sous le menton, le pouce sous la lèvre inférieure pour fermer la bouche.
L’inspiration le sauveteur plaque sa bouche autour du nez de la victime et insuffle.
L’expiration : le sauveteur procède de la même manière que le bouche à bouche.
Cas particuliers :

1°- POUR LES NOUVEAUX NES ET LES JEUNES ENFANTS ? LE SAUVETEUR PLAQUE SA BOUCHE AUTOUR DE L’ENSEMBLE DU NEZ ET DE LA BOUCHE DE L’ASPHYXIE.

La fréquence varie entre 20 à 30 mouvements / mn. On souffle d’autant plus fréquemment et d’autant moins fort que l’enfant est plus jeune.

2° Les méthodes de bouche à bouche et bouche à nez peuvent être pratiquées sur un asphyxie placé sans n’importe quelle position. Dans les deux cas, l’essentiel est, là encore, de bien basculer la tête en arrière.

Le secouriste n’oubliera pas que son rôle s’arrête là où commence celui du spécialiste.

CE QU ‘ IL FAUT FAIRE OU NE PAS FAIRE DANS QUELQUES CAS PARTICULIERS.
- Le secouriste effectuant le sauvetage d’un asphyxié doit; savoir soustraire la victime à la cause de l’asphyxie sans y succomber lui-même, et éviter aux autres d’y succomber.
- En ce qui concerne les asphyxies accidentelles survenant dans certaines professions, chacun doit ; connaître et respecter les consignes de sécurité générale. Repérer les dispositifs d’alarme (sonnerie, signaux) et les dispositifs de sécurité (vannes, robinets, coupe circuits, extincteurs).


- 1- Objectif :
Pratiquer les gestes nécessaires pour arrêter l'écoulement du sang
2- Définition :
C'est l'écoulement de sang en dehors des vaisseaux sanguins
- les hémorragies externes.
- les hémorragies internes.
- les hémorragies extériorisées.
3- Conduite à tenir :
Devant une hémorragie, l'action du secouriste comporte trois gestes :
- appuyer.
- allonger.
- alerter.
3.1- Compression manuelle locale :
Le secouriste doit (Fig. 10) :
- Exercer une compression locale à l'aide de la paume de la main en se protégeant par un tissu étanche : (plastique, gant) ;
- Maintenir la compression manuelle locale ;
- Surélever le membre du blessé ;
Après avoir arrêté l'hémorragie, le secouriste, pour pouvoir se libérer, doit procéder à :

3.2- la compression locale par un tampon maintenu par un lien large:
Le secouriste doit (Fig. 11) :
- Interposer entre la plaie et la main un linge propre,
- Maintenir le tampon par un lien large (foulard, cravate,...)
-Garder le membre blessé surélevé
- Couvrir la victime
- Alerter les secours spécialisés.
-Surveiller la victime jusqu'à l'arrivée des secours spécialise
Quand la compression locale est inefficace ou contre indiquée (présence d'un corps étranger, fracture ouverte) le secouriste exerce la compression à distance :

3.3- Compression à distance :
Consiste à comprimer le vaisseau qui saigne, entre le coeur et la plaie, à l'aide du pouce ou du poing au niveau des points de compression suivants :
3.3.1-Point de compression à la base du cou.
En présence d'un saignement au niveau des vaisseaux du cou.
Le secouriste doit (Fig.12a) :
- Allonger la victime
- Se placer à genou, du coté qui saigne de la victime, au niveau de la tête.
- Appuyer avec le pouce sur le vaisseau, contre les vertèbres sans gêner la respiration (Pouce gauche ===> plaie à droite; Pouce droit ===> plaie à gauche) les autres doigts prenant appui deriere
3.3.2-Point de compression derrière la clavicule :
Eh présence d'un saignement au niveau du membre supérieur
Le secouriste doit :
- Allonger la victime
- Se placer à genou, à la tête de la victime, dans l'axe du corps. - Appuyer avec le pouce sur le vaisseau derrière la clavicule contre la première côte, en enfonçant le pouce de haut en bas (en direction des pieds), les autres doigts prenant appui en arrière (Pouce gauche ===> plaie à droite; Pouce droit ===>plaie à gauche).

3.3.3-Point de compression au pli de l'aine
En présence d'un saignement au niveau du membre inférieur
Le secouriste doit (Fig. 12c) :
- Allonger la victime
- Se placer à genou, du coté qui saigne de la victime, au niveau
du bassin
- Appuyer avec le poing fermé, bras tendu à la verticale, au milieu du pli de l'aine.

Quand? Où? Comment ?
Plaie du cou Au cou Pouce droit ==> plaie gauche
Pouce gauche ==> plaie droite
Plaie du membre supérieur Derrière la clavicule Pouce droit =_> plaie gauche
Pouce gauche ==> plaie droite
Plaie du membre inférieur Au pli de l'aine Avec le poing,
bras tendu
NB:
- Le secouriste ne doit jamais relâcher un point de compression
- Le secouriste doit surélever les membres inférieurs de la victime en attendant l'arrivée des secours spécialisés préalablement alertés.
3.4-Pose d'un garrot

3.4-1- Définition :
C'est une compression circulaire à l'aide d'un lien large.

3.4-2-indications :
Le garrot est indiqué exceptionnellement dans les cas suivants :
- Le secouriste est isolé, devant faire face à d'autres gestes d'extrêmes urgences.
- Le transport du blessé est long et difficile.
- Le membre sectionné
- Le membre écrasé
- L'échec de la compression à distance

3.4.3-Conduite à tenir:
Le secouriste doit (Fig 13) :
- Placer toujours le garrot au niveau de la cuisse ou du bras (entre le coeur et la plaie).

- Maintenir le point de compression d'une main, et de l'autre main prendre un lien large, rigide et non élastique (cravate, foulard).

- Plier le lien en deux (une extrémité plus longue que l'autre)


- Passer la boucle sous le membre atteint, et glisser l'extrémité la plus longue dans la boucle,

- Serrer les deux extrémités jusqu'à l'arrêt du saignement

- Relâcher à ce moment le point de compression, et faire un noeud plat.

- Ne jamais desserrer un garrot (Fig 14).

- Ne pas couvrir le garrot.

- Épingler une pancarte au vêtement indiquant le nom de la victime et surtout l'heure précise de la pose du garrot.

- Couvrir la victime

- Alerter les secours spécialisés.

- Surveiller la victime jusqu'à l'arrivée des secours spécialisés
3.5-Saignement du nez
Conduite à tenir :
Le secouriste doit : (Fig. 15)
- Asseoir la victime, tête penchée en avant, jamais allongée sur le dos.
- Comprimer ou faire comprimer la narine qui saigne avec le doigt pendant dix minutes.
- Adresser la victime vers un médecin si le saignement persiste ou s'il se reproduit.

I- LES PLAIES :
1-Objectif :
Assurer la prise en charge d'une victime présentant une plaie.

2-Définition :
Peau coupée, éraflée, arrachée.

3-Risques :
- Infection
- Hémorragie

4-Type de plaies :
4.1-Plaie simple : superficielle, non étendue
Conduite à tenir :
Le secouriste doit :
- Se laver les mains avec du savon.
- Nettoyer la plaie avec de l'eau et du savon.
- Recouvrir la plaie à l'aide d'un pansement.
- Orienter la victime vers le centre de santé le plus proche.
4.2-Plaie grave : plaie présentant au moins l'un des caractères suivants
- Hémorragie.
- Etendue.
- Profonde.
- Souillée ou avec un corps étranger.
- Près des orifices naturels.
- Etat de santé (diabétique, non vacciné contre le tétanos...)
Conduite à tenir :
Le secouriste doit :
- Allonger la victime.
- Rassurer la victime.
- Recouvrir la plaie avec un linge propre, sans jamais retirer de la plaie un éventuel corps étranger.
- Couvrir la victime.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.

4.3-Plaies graves à localisation particulière :
4.3.1-Plaie de l'oeil :
Conduite à tenir :
Le secouriste doit :
-Allonger la victime, tête bien calée, en lui recommandant de fermer les yeux et de ne pas bouger.
- Ne jamais retirer un corps étranger.
- Couvrir la victime.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.

4.3.2-Plaie du thorax :
Conduite à tenir :
Le secouriste doit :
- Installer la victime en position demi assise ou couché sur le côté atteint.
- Emballer la plaie avec un linge propre.
- Couvrir la victime.
-Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.
4.3.3-Plaie de l'abdomen :
Conduite à tenir (Fig 32) :
Le secouriste doit :
Allonger la victime, genoux fléchis, jambes horizontales.
- Emballer la plaie avec un linge propre.
- Couvrir la victime.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.
I:
1- Objectif :
Assurer la prise en charge d'une victime présentant une brûlure

2-Définition :
Une brûlure est une lésion de la peau provoquée par :
La chaleur (corps solides, liquides ou vapeurs surchauffées, coups de soleil).
- Électricité.
- Produits chimiques (acides, bases).
3-Risques :
- L'infection
- Déshydratation (brûlure grave).
4-Type de brûlures :
4.1-Brûlure simple :
- Rougeur de petite surface.
- Une cloque inférieure à la moitié de la paume de la main de victime.
Conduite à tenir :
Le secouriste doit :
- Refroidir la brûlure pendant au moins 05 minutes en laissant couler de l'eau sans pression sur la brûlure (créer un ruissellement) à une hauteur de 10 à 15 centimètres et ceci dans les 15 premières minutes sans percer d'éventuelles cloques.
- Adresser la victime pour un avis médical.
4.2-Brûlure grave :
Présentant au moins l'un des caractères ci dessous:
- Étendue.
- Profonde.
- Siège (face, mains, articulation).
- Souillée.
- État de santé (diabète, insuffisance respiratoire,...).
-Age (enfant, vieillard,...).
Conduite à tenir:
Le secouriste doit :
- Supprimer la cause : Si les vêtements sont enflammés, empêcher la victime de courir, l'enrouler dans une couverture ou un manteau sinon la rouler sur le sol.
- Refroidir la brûlure pendant au moins 10 minutes en laissant couler de l'eau sans pression sur la brûlure (créer un ruissellement) à une hauteur de 10 à 15 centimètres et ceci dans les 15 premières minutes sans percer d'éventuelles cloques.
- Déshabiller la victime à l'endroit de la brûlure sans enlever les vêtements qui collent à la peau.
- Emballer la brûlure avec un linge propre.
- Allonger la victime.
- Couvrir la victime.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.
4.3-Brûlures particulières :
4.3.1-Brûlures chimiques :
- Projection sur la peau et les vêtements :Conduite à tenir : Le secouriste doit :
- Oter en se protégeant ou faire ôter immédiatement les vêtements, imbibés de produits tout en arrosant abondamment, à grande eau la surface brûlée, le plutôt possible pour éliminer le produit en cause jusqu'à l'arrivée des secours spécialisés.
- Projection dans l'œil: Conduite à tenir :
Le secouriste doit :
- Rincer l'oeil abondamment à l'eau le plus tôt possible, en prenant soin que l'eau de lavage ne coule pas sur l'autre oeil.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.
- Ingestion de produit chimique: Conduite à tenir :
Le secouriste ne doit pas :
- Faire vomir.
- Donner à boire.
Il doit :
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime et garder l'emballage du produit chimique en cause et le produit restant.
- Inhalation de produit chimique:Conduite à tenir :
Le secouriste doit :
- Placer la victime en position demi assise si elle a du mal à respirer.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.
4.3.2-Brûlure électrique : Il s'agit toujours d'une brûlure grave Conduite à tenir :
Le secouriste doit :
- Allonger la victime.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime
ATTEINTES TRAUMATIQUES DES OS ET ARTICULATIONS
1-Objectifs :
- Suspecter l'atteinte des os, des articulations ou des ligaments devant tout traumatisme.
- Assurer la prise en charge d'une victime présentant une lésion traumatique du squelette.
2-Définitions:
2.1-Fracture : c'est une cassure de l'os (Fig. 33a).
2.2-Luxation : c'est un déboîtement de l'articulation (Fig. 33b). 2.3-Entorse : c'est un étirement ou une déchirure des ligaments qui maintiennent en place l'articulation (Fig. 33c).

3-Signes :
- Douleur violente.
- Gonflement du membre.
- Difficulté de bouger le membre.
- Déformation du membre atteint.
4-Types de fractures:
4.1-Fracture fermée : peau intacte ) :


4.2-Fracture ouverte : présence d'une plaie () :


5-Conduite à tenir:
Règles générales
Devant toute lésion traumatique du squelette, le secouriste doit :
- Interdire tout mouvement à la victime.
- Éviter les manipulations de la victime.
- Empêcher le transport avant l'immobilisation.
- Emballer une plaie éventuelle.
- Couvrir la victime.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.

5.1-Devant les lésions du membre supérieur : 5.1.1-Immobilisation Improvisée: Le secouriste doit (Fig. 36) :
- Retourner le pull-over ou le pan d'une veste et le maintenir avec un lien ou une épingle.
5.1.2-Immobilisation avec une écharpe: - Atteinte de l'avant bras : écharpe simple:
Le secouriste doit :
- Glisser le premier chef contre le thorax, puis le poser sur l'épaule du côté atteint (Fig. 37a).
- Rabattre l'autre chef sur l'épaule opposée puis le nouer au premier chef autour du cou.
- Enrouler le sommet de l'écharpe pour en faire un tortillon au niveau du coude (Fig. 37b).
- Atteinte du bras : on rajoute une contre écharpe. Le secouriste doit (Fig. 38) :
- Placer la base du triangle sur l'épaule du membre atteint.
- Nouer les 2 chefs sous l'aisselle opposée.
- Replier le sommet du triangle sur le coude.
- Enrouler le sommet de l'écharpe pour en faire un tortillon au niveau du coude.

5.2- Devant les lésions du membre inférieur:
Le secouriste doit :
- Immobiliser le membre atteint dans la position où il le trouve.
- Caler le membre atteint sans oublier le pied.
- Couvrir la victime.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.

5.3-Devant les lésions du dos:
Danger ===> lésion de la moelle épinière ===> paralysie des membres.
Le secouriste doit (Fig. 39) :
- S'interdire toute mobilisation de la victime.
- Se placer à genou à la tête de la victime.
- Maintenir la tête de la victime avec les 2 mains placées de chaque côté jusqu'à l'arrivée des secours spécialisés.
- Conseiller à la victime de ne faire aucun mouvement en particulier de la tête.
- Couvrir la victime.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.

5.4-Devant les traumatismes crâniens:
Le secouriste doit :

- Questionner la victime et / ou l'entourage :
- Perte de connaissance.
- Maux de tête persistants.
- Vomissements.
- Troubles du comportement.

- Observer la victime :
- Saignement du nez, de l'oreille ou de la bouche
- Plaie du cuir chevelu.
- Enfoncement du crâne.
- Troubles du comportement.

- Installer la victime en PLS si perte de connaissance.
- Emballer une éventuelle plaie
- Couvrir la victime.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.
[center
]