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  suite ..DÉTRESSE VENTILATOIRE..LES MALAISES

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مُساهمةموضوع: suite ..DÉTRESSE VENTILATOIRE..LES MALAISES    suite ..DÉTRESSE VENTILATOIRE..LES MALAISES Emptyالسبت أغسطس 21, 2010 3:58 pm

A 6 - DÉTRESSE VENTILATOIRE
1-Objectifs :
- Reconnaître une détresse ventilatoire.
- Assurer la prise en charge d'une victime présentant une détresse ventilatoire.
- dégager un corps étranger.

2-Definition :
Difficulté de ventiler pouvant aboutir à l'arrêt ventilatoire.

3-Signes :
- Ventilation gênée, bruyante, gargouillante, rapide ou lente.
- Coloration bleuâtre du visage, des lèvres et des ongles.
- Sueurs.
- Absence de soulèvement du thorax et de l'abdomen (Arrêt ventilatoire).

4-Conduite à tenir :
4.1-Ventilation artificielle :
4.1.1-Bouche à bouche (B.A.B) :
Le secouriste doit :
- S'agenouiller près de la tête de la victime.
- Maintenir la tête en arrière.
- Pincer le nez avec les deux doigts de la main qui était sur le front.
- Appliquer sa bouche contre celle de la victime.
- Donner une insufflation progressive.
-
- Se redresser tout en inspirant et en surveillant l'abaissement de la cage thoracique (Fig 19).

- Donner une deuxième insufflation et contrôler le pouls carotidien.
- Poursuivre les manoeuvres jusqu'à l'arrivée des secours spécialisés ou reprise de la ventilation.
- Contrôler le pouls carotidien toutes les deux minutes.
Fréquence de l'insufflation :

- Adulte : entre 12 et 20 insufflations / mn.
- Enfant : entre 20 et 25 insufflations / mn.

4.1.2-Bouche à nez (B.A.N) : B.A.B. impossible
Le secouriste doit (Fig 20) :
- Maintenir la tête en arrière.
- Fermer la bouche en plaquant la lèvre supérieure contre la lèvre inférieure avec les doigts de la main qui était sous le menton.
- Appliquer sa bouche autour du nez de la victime.
- Donner une insufflation progressive.
- Se redresser, tout en inspirant, et en surveillant l'abaissement de la cage thoracique de la victime.
- Faire une deuxième insufflation et contrôler le pouls carotidien.
- Poursuivre jusqu'à la reprise de la ventilation ou l'arrivée des secours spécialisés.
- Contrôler le pouls carotidien toutes les deux minutes.

Fréquence de l'insufflation :

- Adulte : 12 - 20 insufflations / mn.
- Enfant : 20 - 25 insufflations / mn.

4.1.3-Bouche à bouche et nez chez le nourrisson
Le secouriste doit :
- Maintenir la tête du nourrisson en arrière.
- Englober avec sa bouche la bouche et le nez du nourrisson.
- Donner une insufflation progressive.
- Se redresser tout en inspirant et en surveillant l'abaissement de la cage thoracique.
- Donner une deuxième insufflation et vérifier le pouls huméral (face interne du bras).
- Ne pas s'arrêter jusqu'à la reprise de la ventilation ou l'arrivée des secours spécialisés.
- Contrôler le pouls huméral toutes les deux minutes.

Fréquence des insufflations : 25 - 30 insufflations I mn.
Volume d'air : contenu des joues.

4.2-Désobstruction des voies aériennes : Manoeuvre d'Heimlich
4.2.1-Victime assise :
Le secouriste doit (Fig 21) :
- Se placer derrière la victime, genoux fléchis.
- Glisser les bras sous les aisselles de la victime.
- Placer un poing au creux de l'estomac de la victime, au-dessous du sternum, le dos de la main tourné vers le haut.
- Placer la paume de l'autre main sur la première main.
- Tirer brusquement, en exerçant une pression vers lui et vers le haut
- Éviter d'écraser les côtes par les avants bras.
- Extraire le corps étranger de la bouche de la victime.


4.2.2-Victime debout :
Le secouriste doit (Fig 22) :
- Se placer derrière la victime.
- Glisser les bras sous les aisselles de la victime.
- Placer un poing au creux de l'estomac de la victime, au- dessous du sternum, le dos de la main tourné vers le haut.
- Placer la paume de l'autre main sur la première main.
- Tirer brusquement, en exerçant une pression vers lui et vers le haut
- Éviter d'écraser les côtes par les avants bras.
- Extraire le corps étranger de la bouche de la victime.

4.2.3-Victime couchée :
Le secouriste doit (Fig 23) :
- Se mettre à genoux écartés sur les cuisses de la victime.
- Placer la paume d'une main au- dessus du nombril et l'autre main sur la première.
- Exercer une pression brusque vers le sol et en direction de la tête de la victime.
- Sortir le corps étranger de la bouche de la victime.

Irig z3 : Manoeuvre o'Neimucn (victime coucnee)I

4.2.4-Nourisson :
Le secouriste doit (Fig 24) :
- S'asseoir
- Placer le bébé sur le ventre, sur son avant bras, en appui sur sa cuisse, genoux du nourrisson écartés, tête dirigée vers le bas.
- Donner 4 à 5 tapes avec l'autre main, entre les omoplates du bébé.
- Si échec, retourner le nourrisson sur le dos tête baissée, et effectuer 4 poussées avec les 3 doigts au milieu du sternum.
- Rechercher le corps étranger dans la bouche pour l'extraire.

A 7- Arrêt cardio ventilatoire
1-Objectifs:
- Reconnaître le signe essentiel de l'arrêt cardio ventilatoire qui est l'absence du pouls carotidien.
- Pratiquer la ventilation artificielle associée à un massage cardiaque externe (M.C.E.).

2-Définition
Absence de la ventilation et de la circulation

3-Signes :
La victime
- Ne parle pas
- Ne respire pas
- N'a pas de pouls carotidien.

4- Conduite à tenir par un secouriste :
4.1-Chez l'adulte :
Le secouriste doit :
- Assurer la liberté des voies aériennes. (L.V.A.)
- Vérifier l'absence de la ventilation.
- Pratiquer deux (02) insufflations.
- Vérifier l'absence du pouls carotidien.
- Pratiquer le massage cardiaque externe associé à la ventilation artificielle:
- Allonger la victime à plat dos sur un plan dur
- Ecarter à angle droit un bras de la victime, se placer à genou, à cheval sur ce bras, un genou au contact de l'aisselle.
- Repérer à l'aide d'un majeur le creux situé en haut du sternum et de l'autre majeur le creux situé à la base du sternum,déterminer à l'aide des pouces le milieu du sternum et placer le talon de la main sur la moitié inférieur du sternum (Fig. 25 - Fig. 26).


- Effectuer une poussée verticale de 3 à 5 centimètres, bras tendus, puis relâcher sans décoller les mains.
- Réaliser successivement 15 compressions thoraciques pour 2 insufflations en comptant à haute voix (et 1, et 2, et 3... et 15) à raison de 80 compressions par minutes chez l'adulte (Fig. 28).

- Faire alerter les secours spécialisés.
- Contrôler le pouls carotidien tous les 5 cycles.
- Continuer la manoeuvre jusqu'à reprise du pouls ou l'arrivée des secours spécialisés

4.2-Chez l'enfant :
Le secouriste doit :
- Utiliser le talon d'une seule main pour la compression.
- Effectuer des compressions de2 à 3 centimètres.
- Respecter une fréquence de 100 compressions par minute pour des cycles de 15 compressions pour 02 insufflations.
- Contrôler le pouls tous les 10 cycles.


4.3-Chez le nourrisson (moins d'un an) :
Le secouriste doit (Fig. 29) :
- Vérifier le pouls à la face interne du bras
- Réaliser 2 insufflations par bouche à bouche et nez.
- Réaliser des compressions de 1 à 2 centimètres à l'aide de 03 doigts au milieu du sternum à une fréquence de 120 compressions par minute avec des cycles de 15 compressions pour 02 insufflations
- Contrôler le pouls tous les 10 cycles

5- Conduite à tenir par deux secouristes (Fig. 30) :
-L'un doit:
- Se placer près de la tête de la victime.
- Effectuer le bilan.
- Procéder au bouche à bouche.

- L'autre doit :
- Se placer de l'autre côté de la victime
- Procéder au M.C.E.
- Respecter les cycles de 5 compressions pour une insufflation en comptant à voie haute.


- Respecter la fréquence approximative de :
- 80 MCE I mn chez l'adulte
- 100 MCE I mn chez l'enfant
- 120 MCE I mn chez le nourrisson

NB : Ne jamais pratiquer de MCE sur un coeur qui bat
A 8 - LES MALAISES

1-Objectif :
Assurer la prise en charge d'une personne qui se plaint d'un malaise.
2-Definition :
Un malaise est une sensation pénible chez une personne consciente.

3-Risque :
Certains malaises peuvent être graves et entraîner une détresse vitale.
4-Conduite à tenir :
Le secouriste doit (Fig. 31) :
- Observer les signes tels que :
- Douleur à la poitrine.
- Sensation de froid.
- Sueurs.
- Pâleur.
- Difficulté à respirer.
- Difficulté à parler.
- Sensation de soif
- Angoisse.

- Installer la victime en position de confort.
- Rassurer et réconforter la victime.
- Questionner :
- Depuis combien de temps dure ce malaise ?
- Avez vous déjà présenté ce type de malaise ?
- Prenez- vous des médicaments ?
- Donner de l'eau sucrée.
- Aider la victime à prendre son médicament si elle nous le demande.
- Couvrir la victime à la demande.
- Alerter les secours spécialisés.
- Surveiller la victime.
DANGER ATOMIQUE
La possibilité d'utiliser l'énergie atomique à des fins stratégiques rend nécessaire une étude rapide du danger atomique et de la manière dont on pourrait se protéger.
Effets produits par une explosion atomique:
La bombe atomique se comporte comme une bombe explosive, incendiaire et radio-active, extrêmement puissante. Elle provoque des dégâts considérables, à une très grande distance. L'explosion d'une telle bombe donne naissance à trois phénomènes:
- Dégagement d'un souffle analogue à celui d'une bombe explosive, mais beaucoup plus puissant;
- Dégagement de chaleur très violent;
- Formation de rayonnements radio-actifs.
L'action sur l'homme dépend:
De la distance qui sépare le sujet du lieu de l'explosion et des conditions d'explosion;
De la protection dont il bénéficie.
1. Effets du "souffle" le souffle agit pendant les quelques secondes qui suivent l'explosion. Elle provoque sur l'homme des effets directs et indirects.
a. effets directs. – le sujet présente des blessures qui sont celles de toute victime d'une explosion:
- éclatement des poumons et des viscères abdominaux;
- crevaison du tympan et atteinte cérébrale.
b. effets indirects. – le sujet est blessé par des débris provoques par explosion: tuiles, briques, éclats métalliques, morceaux de verre; il peut être écrasé ou emprisonné sous les décombres. On se trouvait donc en présence de fractures, d'hémorragies et des laies graves.
Les victimes du souffles sont dans un "état de choc" très sévère.
effets thermiques. Il faut distinguer l'action thermique directe de l'explosion et ses conséquences incendiaires indirectes.
On se trouvait donc en présence de brûlés de toute nature.
2. effets de rayonnement radio-actifs. – le mécanisme d'action et la nature même des rayonnements sont très compliqués. bornons-nous à dire que les rayonnements peuvent agir immédiatement ou de façon retardée.
a. rayonnement immédiat.- l'émission de ce rayonnement agit pendant les quelques secondes qui suivent, y l'explosion.
La gravité de l'atteinte du sujet est fonction:
- de la distance à laquelle il se trouve;
- du temps pendant lequel il a été exposé;
- de la protection dont il a pu bénéficier.
Les troubles apparaissent dans les jours qui suivent: troubles sanguins avec hémorragies, atteinte de la peau, chute de cheveux.
L'évolution de la "maladie de rayons" est souvent mortelle; les malades meurent de troubles digestifs, d'hémorragies, d'amaigrissement et d'infection.
Action retardée ("rayonnement résiduel"). – les objets de toute nature, exposés au rayonnement, peuvent devenir à leur tour radio-actifs: la poussière, les aliments, l'eau offriront de grands dangers, ce "rayonnement résiduel" pouvant atteindre les personnes longtemps après l'explosion. Enfin les particules radio-active restées suspendues dans l'air peuvent donner lieu à des " retombées radio-actives" survenant à grande distance de l'explosion et longtemps après (action du vent).
La réalisation d'un système de protection n'est possible qu'à une grande échelle, car elle nécessite la mise en œuvre de moyens tes puissants.
Ce qu'il faudrait faire au moment d'une explosion atomique.
Dans un rayon de quelques kilomètres, toute protection est illusoire; mais il faut savoir qu'au delà, des précautions élémentaires peuvent diminuer de moitié le nombre de victimes.
1. si l'alerte a été donnée, tout le monde doit déjà se trouver dans les abris au moment de l'explosion. On attendra pour sortir que le signal soit donné.
2. quand l'alerte n'a pas été donnée, l'explosion se présente sous la forme d'une grande lueur.
A moins d'être au voisinage du lieu d'explosion, on a une ou deux secondes pour faire un geste:
- se jeter à plat ventre, sur la sol, la tête dans les bras, en s'abritant derrière un mir, contre une bordure de trottoir, dans un fossé;
- se cacher la tête et les mains sous les vêtements;
- attendre pour se lever que les pierres soient retombées (une trentaine de secondes).
Soins d'urgence
Ils comprendraient les mesures d'urgence individuelles et l'organisation des secours sur le plan collectif.
1°) soins individuels. En vue de se protéger du rayonnement résiduel (poussières, vêtement(s irradiés), on agira:
- savonnage et rinçage très soigneux de la peau, sans oublier les cheveux; prendre bien soin de ne pas provoquer d'éraflures de la peau;
- les vêtements ne seront pas brûlés, mais enterrés;
- surveillance médicale dans les jours et les mois qui suivent.2°) organisation des secours collectifs. Les destructions étant quasi totales dans la région de l'explosion, les secours ne pourront être organisés qu'à partir de la périphérie. Les équipes de secours pénétrant dans la région contaminée devront porter des vêtements spéciaux de protection et un masque respiratoire spécial. Elles procèderont:
- au relèvement des victimes, qui seront traites à la fois comme des blessés et des "contagieux radio-actifs"; on notera sur la fiche du blessé le lieu exact du ramassage, pour pouvoir évaluer l'importance de l'irradiation subie.
- A la détection des zones radio-actives (équipes spécialisées munies d'appareils détecteurs);
- A la décontamination systématique des zones atteintes, en vue de supprimer ou d'atténuer le rayonnement résiduel.
Il est très important de ne pas brûler les objets" contaminés" par le rayonnement radio-actifs (sauf dans des four spéciaux), car la fumée et les cendres deviendraient des agents très dangereux de dispersion des éléments radio-actifs.
(Notons que les risques de contamination à distance par l'eau des fleuves et le vent sont très important).
LES ACCIDENTS DE LA CIRCULATION ROUTIERE
Objectifs: Mettre en œuvre les consignes inhérentes au dégagement des accidentés.
Prendre en charge correctement les blessés.
Les accidents de la circulation sont très fréquents. Ils représentent une des circonstances ou les secouristes auront à intervenir le plus souvent. Le dégagement des accidentés peut se faire en liaison avec la gendarmerie ou la police. Le secouriste témoin d’un accident sur la route, ou survenant immédiatement après, doit respecter les consignes suivantes
- arrêter correctement son propre véhicule ou le véhicule entrepris;
- éviter l’aggravation ou la répétition de l’accident;
- alerter ou faire alerter les secours publics
- respecter certaines prescriptions;
- prévoir l’évacuation du ou des blessés.
- donner les premiers secours aux accidentés et les dégager.
- les accidentés peuvent être trouves dans trois situations:
1. Ne pas avoir à être sorti d’un véhicule.
2. Pouvoir être sorti d’un véhicule;
3. Être prisonnier, « incarcéré » dans un véhicule.

Selon les circonstances et la nature supposée des blessures, le secouriste devra d’abord procéder au dégagement, puis donner les soins d’urgence ou au contraire donner les soins d’abord et dégager ultérieurement.

 Le blessé n’est pas dans un véhicule (Piéton, bicyclette), personne éjectée d’un véhicule. Deux cas peuvent se présenter :

Premier cas: le blessé n’est pas en danger (il gît sur le bas-côté de la route, ou dans un champ). La conduite du secouriste est alors celle qu’il aurait en présence d’un accidenté quelque:
- Si le blesse ne respire pas : respiration artificielle par la méthode bouche-à-bouche ou bouche-à-nez.
- S’il est inconscient, mais qu’il respire: mise en position latérale de sécurité, le mouvement de rotation devra être fait en bloc, en respectant l’axe tête cou tronc.
- S’il saigne: comprimer la plaie ou au besoin l’artère.
- S’il à une fracture: immobilisation, s’il y a plusieurs blesses l’immobilisation peut être sommaire.

2eme cas: le blesse est en danger, dans ce cas, le plus simple et le moins dangereux est encore de tirer ou de faire glisser le blesse sur le sol. Ces manœuvres ne sans pas sans danger et ne constituent qu’un pis-aller destine à éviter qu’un autre véhicule survenait à vive allure n’achève le blesse en blessant aussi le secouriste.

 Le blesse est demeuré dans le véhicule mais peut être sorti. Ne le dégager avant l’appareillage que dans deux cas:
- S’il est atteint d’une hémorragie grave ou s’il étouffe (écrasement du thorax, fracas du visage, blesse inconscient qui vomit);
- Si le véhicule brûle ou commence à brûler ou s’il risque d’être a nouveau heurte par un véhicule.
Dans ces deux cas, il faut sortir la victime le plus rapidement possible; le plus grand danger serait la mobilisation d’une fracture de la colonne vertébrale au niveau du cou; il faut donc essayer de maintenir la tête et le cou en bonne position, en évitant toute torsion et toute flexion (surtout en avant).
Le blessé est incarcéré dans le véhicule. La désincarcération d’un blessé véritablement coincé dans un véhicule très endommagé sera en général réalisée par les secours publics; elle ne sera tentée par le secouriste que pour les cas d’extrême urgence. La manivelle peut servir de levier, le cric permet d’écarter des tôles.
 On tentera d’effectuer sur place les gestes essentiels:
-maintien de la liberté des voies aériennes
-bouche-à-bouche ou bouche-à-nez;
-arrêt de l’hémorragie (compression ou garrot).
les mesures de sécurité seront renforcées, en particulier le balisage.

 Deux cas particuliers peuvent se présenter:

- Premier cas: blessé gisant sous un véhicule qu’on ne peut pas déplacer. Après avoir calé le véhicule et, au besoin, l’avoir soulevé d’un seul coté à l’aide d’un ou, mieux, de deux crics, et réuni le matériel (une corde longue de 3à4 mètres ou un câble de dépannage, de nombreux liens tel que cravates, bas ceintures, cordes, et une couverture ou un imperméable). On procède de la façon suivante:
-Disposer la corde le long du blesse et attacher la corde à une extrémité.
-Passer transversalement sous le blessé une série de liens solides maintenus à extrémité par une personne; le lien qui passe sous la tête doit être large pour que celle-ci ne glisse pas au milieu); ces liens doivent passer par-dessus la corde déjà en place;
Au commandement, tous les sauveteurs soulèvent le blessé en tirant ensemble sur les liens transversaux; La couverture est tirée sous le blessé qu’on repose doucement puis qu’on dégage et le faisant glisser dur le sol.

- Deuxième cas: blesse gisant dans un fossé.
Même procédé que celui qui ce trouve sous un véhicule

SINISTRES ET CATASTROPHES

 Les principales difficultés résident dans la destruction des liaisons ( vies de communication, téléphone) et la coupure de l’eau, du gaz, de l’électricité, des égouts.
 Le rassemblement du matériel de sauvetage, en particulier les bottes, les barques, les cordages, selon le cas;
 L’évacuation des personnes et des biens en danger.
 Le ravitaillement des isolés, en particulier en eau de boisson(eau en bouteilles capsulées).
 Le sauvetages des victimes blesses et malades.
 Enfin la participation aux opérations de déblaiement.
 L’ampleur de certaines catastrophes nécessite presque toujours le déclenchement d’un plan ORSEC(voir plus loin) mobilisant l’ensemble des moyens de secours d’un, voire de plusieurs départements. L’intervention de secouristes se fait donc en collaboration avec les autres services; elle est en général orienter vers deux buts:
 - Le sauvetage proprement dit;
 - les taches d’évacuation et d’entraide
 Plan orsec.
 L’ampleur d’une catastrophe peut rendre nécessaire l’intervention de moyens de secours beaucoup plus puissants que ceux dont on peut disposer à l’échelle local.
 Le plan orsec est le plan départemental d’ORganisation des SECours
 Plan orsec.
 L’ampleur d’une catastrophe peut rendre nécessaire l’intervention de moyens de secours beaucoup plus puissants que ceux dont on peut disposer à l’échelle local.
 Le plan orsec est le plan départemental d’ORganisation des SECours
 D’où il est à envisager :
 - l’organisation de secours départementaux;
 - le déclenchement de l’alerte;
 - la mise en œuvre du dispositif ORSEC;
 - La réalisation pratique du plan;
 Réalisation pratique du plan Orsec :
 l’élaboration du plan orsec dans chaque département nécessite:
 - le recensement de tous les moyens de secours en personnel et en matériel.
 - l’organisation du commandement aux différents échelons;
 - l’élaboration des consignes du plan en général, et aussi des circonstances spéciales

INCENDIE
 Le secouriste ne confondra pas son rôle avec celui des spécialistes de la lutte contre l’incendie. Mais il doit connaître :
 les gestes simples qui peuvent empêcher l’éclosion d’un incendie;
 La façon d’alerter les pompiers;
 La conduite à tenir en présence d’une personne dont les vêtements ont pris feu.
 Le dégagement d’une victime d’un local enfumé;
 L’utilisation des extincteurs d’incendie.
 1°- il suffit souvent d’un geste simple pour empêcher l’éclosion d’un incendie.
 par exemple:
 - couvrir avec un couvercle une casserole dont l’huile à pris feu.
 Piétiner des brins de paille allumés par un mégots de cigarette imprudemment jeté;
 Couper le courant électrique qui « sent le brûlé ».
 Appel des pompiers.
 Le secouriste doit toujours garder présent à l’esprit la « règle des 3O secondes »: aussi minime puisse-t-il paraître, tout feu non complètement maîtrisé dans les trente secondes qui suivent son éclosion doit faire appeler la protection civile. Le N° de Tel. Des pompiers doit être connu de tous.
 Conduite à tenir en présence d’une personne dont les vêtements sont enflammes.
 Il faut empêcher la victime de courir; l’entourer d’une couverture ou d’un vêtement large;
 La rouler sur le sol pour étouffer les flammes;
 Puis s’occuper des brûlures.
 NE JAMAIS DIRIGER LE JET D’UN EXTINCTEUR SUR LE VISAGE D’UNR VICTIME OU UN AUTRE SAUVETEUR.
 Dégagement ‘une victime retenue inanimée dans un local enfumé.
 On doit respecter impérativement les consignes suivantes.
 S’encorder solidement, la corde étant nouée autour du sauveteur par un nœud d’amarre , et surveillée par une seconde personne restée à l’extérieur;
 Se munir d’un moyen d’éclairage portatif, allumé avant d’entrer dans le local ( solidement attaché aux vêtements)
 Se couvrir le nez et la bouche d’un linge mouillé;
 Progresser au ras du sol;
 Procéder par incursions de courte durée, en comptant mentalement jusqu’à trente secondes.
 Sortir la victime et revenir sur ces paspar le même chemin ( pour ne pas nouer la corde ) mais avoir sur soi un couteau pour pouvoir la couper si elle se coince.
 Utilisations des extincteurs d’incendie.
 le secouriste doit connaitre l’emplacement et la façon d’utiliser les extincteurs d’incendie dont il dispose sur le lieu de son travail, à domicile , à bord de son véhicule.
 Le fonctionnement des extincteurs est déclenche par différents mécanismes:
 Retournement, percussion, manœuvre d’un robinet ou d’une gâchette, pompage.
 On ne doit pas utiliser n’importe quel type d’extincteurs ( eau pure, pulvérisée, ou non; liquides et mousses, produits dits « chimiques « neige et gaz carboniques, poudre) sur n’importe quel type de feu (feux secs: bois, paille, papier; feux gras: essences, huiles graisses; feux électriques avec conducteurs sous tension). Il faut posséder le type d’extincteur destiné à lutter efficacement contre le type de feu.
 Les extincteurs portent des marques distinctives et des instructions qu’il faut avoir lues à l’avance, en particulier l’interdiction d’utiliser certains d’entre eux en présence de courant électrique,

 Ce qu’il faudrait faire au moment d’une explosion atomique :
 Dans un rayon de quelques kilomètres, toute protection est illusoire; mais il faut savoir qu’au delà, des précautions élémentaires peuvent diminuer de moitié le nombre de victimes
 1° Si l’alerte a été donnée, tout le monde doit déjà se trouver dans les abris au moment de l’explosion. On résistera à la tentation de sortir pour « voir ce qui se passe ». On attendra pour que le signal soit donné.
 2° Quand l’alerte est donnée, l’explosion se présente sous forme d’une grande lueur. A moins d’être au voisinage du lieu d’explosion, on a une ou deux seconde pour faire un geste :
 se jeter à plat ventre, sur le sol, la tête dans les bras, en s’abritant derrière un mur, contre une bordure de trottoir, dans un fossé;
 Se cacher la tête et les mains sous les vêtements
 Attendre pour se lever que les pierres soient retombées ( une trentaine de secondes)
 Soins individuels:
 savonnage et rinçage très soigneux de la peau sans oublier les cheveux, prendre bien soins de ne pas provoquer d’éraflures de la peau
 Les vêtements ne seront pas brûlés, mais enterrés; surveillance médicale dans les jours et les mois qui suivent.
 Organisation de secours collectifs : les destructions étant quasi totales dans la région de l’explosion, les secours ne peuvent être organiser qu’à partir de la périphérie. Les équipes de secours pénétrant dans la région contaminée porteront des vêtements spéciaux de protection et un masque respiratoire spécial.
 Elles procéderont :
 A) au relèvement des victimes.
 B) à la détection des zones radioactives.

C) à la décontamination systématique des zones atteintes
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